Les Souriants, un roman qui change le passé, donc le futur.

Outre l'intrigue magistrale, digne d'un Da Vinci Code,  nous avons tout de suite aimé les convictions de l’éditeur : Ensemble,  inventons le “Pleasure-ware”! “Pay as you like it !” Vous l'aurez compris, ceci n'est pas un espace marchand mais, comme on le dit parfois en économie, une zone de libre-échange (livre-échange ?). N’étant pas une “chose”, un roman ne peut devenir une marchandise.  Pourquoi un livre, une œuvre de l'esprit aurait-elle un prix fixe ? Quel est le cours de la matière grise au XX^e siècle ? Combien valent quelques pépites d'idées originales et de suspens ? Vous seul(e)s pouvez le dire. Nous avons pris la décision d'offrir le à votre libre appréciation : il aura le prix que vous lui donnerez, pas d'autre valeur que celle du plaisir qu'il procure, de l'écho qu'il suscite. Un euro ? Quatre ? Dix ? Trente !?..  Donnez selon vos moyens, vos convictions, votre plaisir…

Pour le lancement de ce polar “transgressif”, nous avons travaillé avec une attachée de presse, Rose Bourgeois, et conçu un site internet “très polar” sur lequel il était possible de lire les 5 premiers chapitres. Grâce à une boutique en ligne, les internautes avaient le choix d'acheter à leur guise 350 pages et les lire tranquillement sur leur tablette… Puis commander les chapitres de la révélation finale… à un prix libre ! Bien entendu, les amoureux du papier pouvaient également acheter le livre imprimé, que nous avions mis en page et fait imprimer. Enfin, pour relever le défi d'une commercialisation courageuse et créer un buzz viral sur le net, nous avons inventé “le premier teaser littéraire”, une bande annonce de film dans les règles de l'art…